A Saint-Etienne, l’inquiétude grandit sur l’avenir des centres sociaux et des amicales laïques.
Publié par Pat. Françon
Ces deux types de structure d’éducation populaire traversent une période difficile. Confrontées à une crise du bénévolat qui touche tout le monde associatif, ces associations sont parfois contraintes à la fermeture.
En quelques années, Saint-Etienne a vu se fermer plusieurs centres sociaux et 4 amicales laïques dont certaines avaient plus de cent ans. Pour tenter de faire face à cette crise, un collectif animé par Gilles Epalle, lui-même président de l’ amicale laïque stéphanoise Michelet, vient d’être créé. Le mois prochain, ce collectif sera reçu en préfecture de la Loire.
Le collectif rappelle le rôle majeur de ces structures dans le maintien d’un lien social bien fragile en ces temps de crise. Ces associations sont aussi engagées dans l’inclusion des personnes handicapées. Gilles Epalle et ses amis réclament un plan Marshall.