Deux réactions aux législatives en sud Loire.
À Saint-Etienne, l’ancienne résistante centenaire appelle à barrer le RN. Âgée de 102 ans, Mélanie Volle, née en Autriche, s’est réfugiée en France après l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Elle fut ensuite déportée en camp de concentration. Tout récemment, elle a porté la flamme olympique à Saint-Etienne. Elle vient d’inviter les électeurs à barrer la route au RN. (credit photo département de la Loire)
Toujours à Saint-Etienne, l’ancien maire socialiste de Saint-Etienne, Maurice Vincent s’indigne de la déclaration électorale de son successeur qui ne dit rien sur l’attitude à adopter face au RN. Il dénonce le comportement des 33 conseillers qui continuent de soutenir un maire discrédité.
Sécurité : Roche-la-Moliere envisage de passer de 32 à 60 caméras de videosurveillance.
Le sujet a été abordé par le. Maire, Éric Berlivet, lors du dernier conseil municipal. Il a proposé de franchir une nouvelle étape avec la fibre. Dès la rentrée, il proposera à Saint-Etienne Métropole de se doter d’une politique de sécurité intercommunale incluant la police.
Déjà exploitant du HPL de Saint-Etienne, le groupe Ramsay reprend le centre COSEM de Saint-Etienne.
Le groupe australien est très présent en France où il a déjà racheté 11 centres dentaires de l’association COSEM. Celui de Saint-Etienne était à visé depuis 5 mois et l’affaire vient de se concrétiser. L’agence régionale de santé à donné son feu vert.
À Roanne, fin de la polémique.
Lors de la conférence de presse sur la création d’une brigade nocturne de police municipale, le maire LR, Yves Nicolin, avait employé le terme de race. Un lapsus qui avait déclenché l’indignation du PS Loire qui reclamait des excuses. Le candidat LR, Antoine Vermorel Marques à même pris ses distances. Dans la foulée, Yves Nicolin, a déplore son vocabulaire. L’incident est clos.
Une usine japonaise va bientôt investir à la Fouillouse.
Lors de la dernière réunion nationale de Choose France, sept projets dont un pour la Loire ont concerné la région AURA. Il s’agit de la firme nippone NIDEC spécialisée dans le stockage de batteries Le chantier de 17 millions d’euros occupera une surface de 7000 m2 et emploiera 115 salariés. Les toits seront recouverts de panneaux photovoltaïques et l’entreprise utilisera aussi la géothermie.
