Agès de 17 et 18 ans, ils ont été mis en examen pour des actes de violence extrême, incluant “viol avec torture ou acte de barbarie” à Rennes, après une agression brutale en centre-ville.
Deux jeunes, âgés de 17 et 18 ans, ont récemment été mis en examen à Rennes pour des accusations sévères incluant “extorsion avec violences” et “viol avec torture ou acte de barbarie”. Cette affaire choquante a émergé suite à une violente agression survenue fin avril.
L’agression a eu lieu dans la nuit du 25 au 26 avril, dans le quartier Saint-Anne du centre-ville de Rennes. La victime, un jeune homme de 25 ans sortant de discothèque, a été sévèrement violentée et humiliée dans une tentative de vol par ses agresseurs. Le procureur de la République de Rennes a précisé que l’altercation avait laissé la victime avec une incapacité totale de travail (ITT) de 21 jours.
Selon le parquet de Rennes, bien que les motifs de l’altercation restent contestés, les deux accusés ont reconnu leur implication dans les violences infligées à la victime. L’un des suspects, le jeune homme de 18 ans, était déjà connu des services judiciaires, contrairement au mineur qui n’avait jusqu’alors aucun antécédent judiciaire. Les enquêteurs examinent également la possibilité que ces deux individus soient impliqués dans d’autres incidents similaires récemment survenus dans la région.
Cette affaire a suscité une vive émotion à Rennes, provoquant des discussions sur la sécurité en centre-ville et la gestion des jeunes délinquants par les autorités judiciaires. Les deux suspects ont été placés en détention provisoire en attendant leur procès, où ils devront répondre des charges graves qui pèsent contre eux.
Les accusations de “viol avec torture ou acte de barbarie” sont parmi les plus graves du système pénal français, reflétant la sévérité des actes commis. Cette affaire est un rappel douloureux des défis que les villes comme Rennes rencontrent en matière de criminalité et de sécurité publique.
